"Marcel"
Prilleux est né... Jean, le 16 novembre 1910 à Pont à Mousson.
Arrivé à Paris à 18 ans, il relève des défis dans les baraques foraines, puis entame une carrière d'amateur, qui le conduit au titre de champion de
France militaire en 1932, à 21 ans, pour le compte du 151ème
RI. A son retour du régiment, il devient boxeur professionnel, et cette même année 1932 livre premier combat pro contre Francisco Ros à Barcelone.
Il montera sur les rings jusqu'en 1943, et son dernier combat sera contre Victor Sinn, à Avranches.
Le nombre de ses combats reste à déterminer mais il est à situer entre les 51 (37 victoires, 14 défaites) recensés sur le site américain de référence "Box Rec" et les... 135 (dont 120 victoires) qui lui sont attribués dans les différents articles que j'ai pu jusqu'ici trouver sur lui.
Francisco Ros |
Il montera sur les rings jusqu'en 1943, et son dernier combat sera contre Victor Sinn, à Avranches.
Le nombre de ses combats reste à déterminer mais il est à situer entre les 51 (37 victoires, 14 défaites) recensés sur le site américain de référence "Box Rec" et les... 135 (dont 120 victoires) qui lui sont attribués dans les différents articles que j'ai pu jusqu'ici trouver sur lui.
A
ce jour, j'en suis à 75 combats (59 victoires, 15 défaites, 1 nul) ,"sûrs", dont j'ai pu retrouver la trace dans la presse de l'époque (Ouest-Eclair,
Paris Soir, Le Petit Parisien, Match...), dans le "Mémento de
la boxe 1944" de Pierre Bardel et sur le site cité plus haut
"Box Rec". Même si ce site compte quelques erreurs
concernant quelques dates et quelques noms d'adversaires, en cliquant
sur ce lien, vous aurez une première liste intéressante, en
attendant que je ne mette sur ce blog une liste plus complète et
plus fiable.
Ses
adversaires les plus renommés, et les plus redoutables, de l'époque sont
Kid Tunero, Al Renet, Victor Janas, Hans
Holdt... et toute une série de Marcel ! (mais pas Cerdan,
qu'il n'a jamais combattu, ni Thil, qu'il avait défié officiellement pour le titre de champion de France). Sans oublier Assane Diouf, boxeur Sénégalais
avec qui il était devenu ami.
Je reviendrai sur tous ces adversaires au fil des billets. En attendant, une petite photo, tiré d'un article du Maine Libre des années 80, prise au Mans. Le Mans, qui fut vraiment "sa" ville, celle où il a effectué (et gagné) le plus de combats.
Je reviendrai sur tous ces adversaires au fil des billets. En attendant, une petite photo, tiré d'un article du Maine Libre des années 80, prise au Mans. Le Mans, qui fut vraiment "sa" ville, celle où il a effectué (et gagné) le plus de combats.
Après
cette carrière de boxeur, Marcel entame une carrière d'entraîneur, d'abord à Granville, où il semble bien être le tout premier
entraineur du Boxing Club Granvillais, (si on se fie au
Wikimanche, sur la page consacrée au club). Le voici du reste en
photo, fin 1942, avec ses jeunes poulains de l'époque... dont je n'ai pas
encore réussi à trouver tous les noms...
Avis à la population !
Et de retour au Mans en 1947, il poursuit au Boxing Club Manceau cette carrière d'entraineur-manager-professeur, jusqu'en 1951, année où il raccroche définitivement les gants...Avis à la population !
La suite des aventures pugilistiques de Marcel au prochain épisode !
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